http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/02/07/97001-20110207FILWWW00565-gennevilliers-affrontements-avec-la-police.php
De violents affrontements ont opposé, à Gennevilliers, une quarantaine d'individus et la nouvelle Brigade spéciale de terrain (BST), mise en place il y a dix jours dans le nord des Hauts-de-Seine, révèle 20mintes.fr.
Trentre trois coups de flash-ball auraient été tirés par les forces de l'ordre en moins de quelques heures. Les fonctionnaires auraient été violemment pris à partie par cette bande lors d'une patrouille de routine dans la cité du Luth. Ils auraient notamment été les cibles de jets de pierres et de cocktails molotov.
Trois policiers ont été blessés dans ces violences et trois individus interpellés. Après avoir été déférés dimanche au parquet, ces derniers ont été libérés sur décision du juge des libertés et de la détention avant leur comparution immédiate prévue mardi.
lundi 7 février 2011
Nîmes : « Il est temps d'agir contre la délinquance des mineurs »
http://www.midilibre.com/articles/2011/02/07/NIMES-Il-est-temps-d-39-agir-contre-la-delinquance-des-mineurs-1530926.php5
Je considère qu'on a dépassé le simple sentiment d'insécurité. Lors de mes permanences, je constate qu'avant on me parlait beaucoup de problèmes de logement ou d'emploi, maintenant la délinquance prend le dessus. De par ma profession (directeur de l'institut d'Alzon, NDLR) et sur le terrain à Nîmes, je peux constater que les agressions sont quasi quotidiennes. J'ai la conviction que nous sommes dans une région où, dans certains endroits, les jeunes et les personnes âgées ne peuvent plus circuler librement à partir de 17 heures. Si l'on ne veut pas que d'autres partis s'occupent de cette question, je veux parler du FN, il est temps d'agir.
Je considère qu'on a dépassé le simple sentiment d'insécurité. Lors de mes permanences, je constate qu'avant on me parlait beaucoup de problèmes de logement ou d'emploi, maintenant la délinquance prend le dessus. De par ma profession (directeur de l'institut d'Alzon, NDLR) et sur le terrain à Nîmes, je peux constater que les agressions sont quasi quotidiennes. J'ai la conviction que nous sommes dans une région où, dans certains endroits, les jeunes et les personnes âgées ne peuvent plus circuler librement à partir de 17 heures. Si l'on ne veut pas que d'autres partis s'occupent de cette question, je veux parler du FN, il est temps d'agir.
Toulouse : Vol à l'arraché, "Il y en a assez que les gens tremblent"
http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/07/1008085-Vol-a-l-arrache-Il-y-en-a-assez-que-les-gens-tremblent.html
Eliette, 75 ans, a été victime d'un vol à l'arrachée à la nuit tombée dans le quartier des Minimes à Toulouse. Depuis, la vieille dame a peur dès qu'elle met un pied dehors.
Fin janvier, à Marseille, une femme de 73 ans avait succombé à ses blessures après une tentative de vol à l'arrachée de son sac à main. Eliette, 75 ans, a elle aussi été victime d'un vol à l'arrachée à Toulouse. Les conséquences ont été moins graves mais elle reste traumatisée. « Il y a quelques jours, à la nuit tombée, je sortais de chez une amie et j'étais dans la rue dans le quartier des Minimes. Il faisait très froid. J'ai rencontré une jeune fille avec laquelle j'ai commencé à discuter. Puis j'ai vu deux jeunes garçons avec une drôle de démarche. Ils avaient leurs capuches rabattues sur la tête, relate Eliette. Je ne me suis pas méfiée. »
Eliette, 75 ans, a été victime d'un vol à l'arrachée à la nuit tombée dans le quartier des Minimes à Toulouse. Depuis, la vieille dame a peur dès qu'elle met un pied dehors.
Fin janvier, à Marseille, une femme de 73 ans avait succombé à ses blessures après une tentative de vol à l'arrachée de son sac à main. Eliette, 75 ans, a elle aussi été victime d'un vol à l'arrachée à Toulouse. Les conséquences ont été moins graves mais elle reste traumatisée. « Il y a quelques jours, à la nuit tombée, je sortais de chez une amie et j'étais dans la rue dans le quartier des Minimes. Il faisait très froid. J'ai rencontré une jeune fille avec laquelle j'ai commencé à discuter. Puis j'ai vu deux jeunes garçons avec une drôle de démarche. Ils avaient leurs capuches rabattues sur la tête, relate Eliette. Je ne me suis pas méfiée. »
dimanche 6 février 2011
Fontaine : Blessé de plusieurs coups de couteau sous les yeux de sa petite amie
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/02/06/blesse-de-plusieurs-coups-de-couteau
Un jeune homme de 21 ans a été blessé de plusieurs coups de couteau samedi vers 23 h 30 à Fontaine alors qu’il se trouvait sur la voie publique avec sa petite amie, âgée de 17 ans.
Un jeune homme de 21 ans a été blessé de plusieurs coups de couteau samedi vers 23 h 30 à Fontaine alors qu’il se trouvait sur la voie publique avec sa petite amie, âgée de 17 ans.
Touché au thorax, il a été transporté au CHU de Grenoble où il a été opéré dans la nuit. Ses jours ne seraient plus en danger.
La jeune femme, qui a été frappée, a également été hospitalisée pour des blessures plus légères.
Un homme _qui aurait participé à la rixe mais qui ne serait pas l’auteur des coups de couteau_ est actuellement en garde à vue.
La jeune femme, qui a été frappée, a également été hospitalisée pour des blessures plus légères.
Un homme _qui aurait participé à la rixe mais qui ne serait pas l’auteur des coups de couteau_ est actuellement en garde à vue.
Nantes : Coup de couteau à Nantes : 28 points de suture
http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-Coup-de-couteau-a-Nantes-28-points-de-suture_loc-1683345_actu.Htm
Coup de couteau à Nantes : 28 points de suture
Coup de couteau à Nantes : 28 points de suture
Une bagarre a éclaté samedi, à 4 h du matin, à la sortie d’un bar de nuit de l’Île de Nantes. Dans l’affrontement, un jeune homme de 22 ans a été blessé au couteau. Les médecins ont dû lui poser 28 points de suture sur le visage. Ses jours ne sont pas en danger. L’auteur présumé du coup de couteau, un homme de 26 ans, est toujours en garde à vue.
Nantes : Déchaînement de violence pour un verre d'eau
http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-Dechainement-de-violence-pour-un-verre-d-eau_dep-1683076_actu.Htm
Aux Touches, un septuagénaire a été passé à tabac pour avoir refusé un verre d'eau à un visiteur.Il a été découvert très grièvement blessé par des voisins le lendemain.
Mercredi 2 février, vers 19 h 30, un jeune homme de 21 ans tombe en panne de scooter non loin de son domicile, alors qu'il rentre chez lui aux Touches, près de Nort-sur-Erdre (Loire-Atlantique). Puisqu'il a soif, il décide de sonner à la première porte.
L'homme qui lui ouvre, Léon Tardif, un Touchois de 71 ans, aurait refusé de lui offrir un verre d'eau. Pris d'une terrible colère, le jeune homme s'est mis à battre le propriétaire des lieux. Les premiers éléments indiquent qu'il aurait passé une partie de la soirée chez la victime, un temps inconsciente.
Le septuagénaire a été découvert dans sa demeure par des voisins le lendemain matin, très grièvement blessé. Il a été transporté au centre hospitalier de Nantes. Les médecins sont réservés quant à son pronostic vital. « Son épouse n'était pas à la maison ce jour-là, selon des proches. C'est un couple sans histoire. Il n'aurait surtout pas cherché la bagarre. »
L'homme qui lui ouvre, Léon Tardif, un Touchois de 71 ans, aurait refusé de lui offrir un verre d'eau. Pris d'une terrible colère, le jeune homme s'est mis à battre le propriétaire des lieux. Les premiers éléments indiquent qu'il aurait passé une partie de la soirée chez la victime, un temps inconsciente.
Le septuagénaire a été découvert dans sa demeure par des voisins le lendemain matin, très grièvement blessé. Il a été transporté au centre hospitalier de Nantes. Les médecins sont réservés quant à son pronostic vital. « Son épouse n'était pas à la maison ce jour-là, selon des proches. C'est un couple sans histoire. Il n'aurait surtout pas cherché la bagarre. »
samedi 5 février 2011
Vols de voiture à Toulouse
http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/05/1006811-Le-chiffre-100.html
Trois hommes interpellés. Des individus suspects ont été repérés, aux alentours de minuit, dans la nuit de jeudi à vendredi, dans un véhicule volé, chemin de Tournefeuille à Toulouse. La police a interpellé les deux individus à bord de la voiture puis un troisième, dans un autre véhicule stationné dans un parking en sous-sol de la gare de Saint-Martin-du-Touch.
Trois hommes interpellés. Des individus suspects ont été repérés, aux alentours de minuit, dans la nuit de jeudi à vendredi, dans un véhicule volé, chemin de Tournefeuille à Toulouse. La police a interpellé les deux individus à bord de la voiture puis un troisième, dans un autre véhicule stationné dans un parking en sous-sol de la gare de Saint-Martin-du-Touch.
Agressions dans les trains dans le Val d'Oise
http://www.leparisien.fr/abo-val-d-oise/je-ne-peux-plus-prendre-les-transports-en-commun-04-02-2011-1299142.php
« Je ne peux plus prendre les transports en commun »
A.* 18 ans, victime d’une agression dans le train en février 2010.
« Je ne peux plus prendre les transports en commun »
A.* 18 ans, victime d’une agression dans le train en février 2010.
C’est un père en colère. Un an après l’agression de sa fille dans le train, Bernard dénonce la réponse de la justice à l’encontre des jeunes filles impliquées dans les faits : un rappel à la loi en...
vendredi 4 février 2011
Poissy : Incendie criminel à la mission locale
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/incendie-criminel-a-la-mission-locale-04-02-2011-1298898.php
Moins de dix jours après des échauffourées avec la police, dans la nuit mercredi à jeudi, la mission locale, qui se trouve au cœur du quartier Beauregard à Poissy, a été la cible d’un incendie criminel. Tôt hier matin, vers 3h20, place Corneille, un ou plusieurs inconnus ont précipité une voiture volée sur le rideau de fer de la mission locale avant de mettre le feu au véhicule.
Hier matin, le personnel de la mission locale était sur place pour constater l’étendue des dégâts. Ils faisaient part de leur désappointement, partagés entre colère et écœurement. « C’est n’importe quoi, déclarait Chafia Mentalecheta, la directrice. Ce geste aurait pu se terminer en drame. La vie des personnes qui occupent les logements au-dessus du local a été mise en danger. »
Moins de dix jours après des échauffourées avec la police, dans la nuit mercredi à jeudi, la mission locale, qui se trouve au cœur du quartier Beauregard à Poissy, a été la cible d’un incendie criminel. Tôt hier matin, vers 3h20, place Corneille, un ou plusieurs inconnus ont précipité une voiture volée sur le rideau de fer de la mission locale avant de mettre le feu au véhicule.
Les pompiers sont rapidement intervenus et les habitants qui résident dans l’immeuble au-dessus ont été évacués.
Hier matin, le personnel de la mission locale était sur place pour constater l’étendue des dégâts. Ils faisaient part de leur désappointement, partagés entre colère et écœurement. « C’est n’importe quoi, déclarait Chafia Mentalecheta, la directrice. Ce geste aurait pu se terminer en drame. La vie des personnes qui occupent les logements au-dessus du local a été mise en danger. »
Aix-en-Provence : Bus aixois, "Plus un jour ne passe sans qu'il n'y ait un incident..."
Les agressions de chauffeurs des Autobus aixois s'enchaînent. Le point sur une situation tendue.
Selon les conducteurs, ce sont les temps de parcours "irréalistes" qui provoquent des retards et font naître des tensions.
Un jet de pierre dans la ZAC du Jas-de-Bouffan, vendredi dernier. Un conducteur tabassé par trois hommes qui s'étaient vus refuser l'entrée dans le bus de leur chien Rottweiler, lundi, toujours dans la zone du Jas. L'un de ses collègues mordu au bras par une automobiliste qui s'opposait à remplir un constat après avoir percuté le bus à l'arrêt. Enfin, mercredi, un énième caillassage sur la ligne qu'emprunte le car scolaire reliant le CREPS au lycée Zola. Si cette liste est non exhaustive, les revendications des syndicats CFDT, CGT et Solidaire 13 le sont. Leurs représentants assurent que les trois-quarts des chauffeurs sont "à bout, usés, dépités, voire désabusés", et jurent ne pas vouloir accabler l'entreprise mais exigent que les conditions de travail changent. Le point sur une situation tendue.
Grigny : Une cité sous le joug des petits caïds
http://www.leparisien.fr/essonne-91/une-cite-sous-le-joug-des-petits-caids-04-02-2011-1299002.php
N’y cherchez pas les petites fleurs, les étendues d’herbe ou les jeux pour enfants. « Surcouf n’a de square que le nom », prévient le maire communiste de Grigny, Claude Vazquez. Avec ses 13 immeubles pour 1000 logements et ses centaines de parkings enterrés, le square Surcouf, au cœur de Grigny 2, a plutôt l’allure étouffante des cités gangrenées par la délinquance.
A en croire les riverains, ils ne sont pas forcément nombreux à vouloir régner sur le quartier. Mais ils sont bien organisés et se sentent les « maîtres du monde ». Leur profil : des bandes dont les membres, âgés de 15 à 20 ans, ont grandi là, dans l’anonymat de cette copropriété géante en déclin.
Un habitant de l’une de ces tours hautes et compactes confirme : « Il n’y a rien d’agréable à cette vie-là. Et le pire, c’est pour les filles. A partir de 19 heures, elles ne peuvent plus rentrer chez elle sans essuyer, au mieux des remarques, au pire des gestes déplacés.
N’y cherchez pas les petites fleurs, les étendues d’herbe ou les jeux pour enfants. « Surcouf n’a de square que le nom », prévient le maire communiste de Grigny, Claude Vazquez. Avec ses 13 immeubles pour 1000 logements et ses centaines de parkings enterrés, le square Surcouf, au cœur de Grigny 2, a plutôt l’allure étouffante des cités gangrenées par la délinquance.
Surpopulation, racket, violence… Pour briser cette « zone de non-droit », comme le disent certains habitants, l’agglomération des Lacs de l’Essonne (qui regroupe Viry et Grigny) a voté hier soir un projet de réaménagement du site. L’objectif : construire une nouvelle route au pied de ces hauts immeubles, histoire de désenclaver cette partie de la copropriété géante, jusque-là accessible seulement à pied.
Des bandes bien organisées
Car Surcouf « est clairement la zone la plus délabrée de Grigny 2, constate Thierry Mathé, le commissaire divisionnaire en charge du secteur. La délinquance de proximité, les vols, les cambriolages, les dégradations et la violence y sont un problème récurrent. Nous en avons fait une priorité, avec la présence renforcée de policiers à tous moments de la journée. »
Des bandes bien organisées
Car Surcouf « est clairement la zone la plus délabrée de Grigny 2, constate Thierry Mathé, le commissaire divisionnaire en charge du secteur. La délinquance de proximité, les vols, les cambriolages, les dégradations et la violence y sont un problème récurrent. Nous en avons fait une priorité, avec la présence renforcée de policiers à tous moments de la journée. »
A en croire les riverains, ils ne sont pas forcément nombreux à vouloir régner sur le quartier. Mais ils sont bien organisés et se sentent les « maîtres du monde ». Leur profil : des bandes dont les membres, âgés de 15 à 20 ans, ont grandi là, dans l’anonymat de cette copropriété géante en déclin.
Un habitant de l’une de ces tours hautes et compactes confirme : « Il n’y a rien d’agréable à cette vie-là. Et le pire, c’est pour les filles. A partir de 19 heures, elles ne peuvent plus rentrer chez elle sans essuyer, au mieux des remarques, au pire des gestes déplacés.
jeudi 3 février 2011
Perpignan : Vols et vandalisme à répétition, le ras-le-bol des riverains
http://www.midilibre.com/articles/2011/02/02/PERPIGNAN-Vols-et-vandalisme-a-repetition-le-ras-le-bol-des-riverains-1525890.php5
On vit dans le noir, les volets fermés, avec des grilles aux fenêtres. Même nos jardins sont grillagés. On a peur pour nos voitures qui sont régulièrement vandalisées. J'ai une trouille bleue de me retrouver un jour face à quelqu'un qui est entré chez moi. On en a marre , nous nous sentons en insécurité ». Le constat est sans appel pour cette habitante du quartier de la gare installée depuis 23 ans dans le secteur de la rue de Paris. A tel point que les riverains ont décidé de faire une pétition, adressée au maire.
Vols à répétition et vandalisme
Depuis plusieurs mois, les habitants constatent une multiplication des actes de dégradation, de vandalisme et même des vols ou tentatives de vol. « Au moment des fêtes de Noël, explique cette personne,
la vitre de ma voiture, garée devant chez moi, a été forcée deux fois en quelques jours, avec un tournevis. La première fois, ils ont sans doute été dérangés parce qu'ils n'ont rien pris. Il y a tout de même eu 1300 euros de réparation. Et trois jours après, ça a recommencé, en pleine après-midi, sans que je n'entende rien. Ils ont réussi à me piquer le poste radio ».
Et cette autre habitante, fidèle depuis 14 ans au quartier, de confirmer : « J'ai vécu la même chose. Ma voiture était garée sous ma fenêtre et j'ai retrouvé le coffre complètement enfoncé, sans doute avec des coups de pied. C'était un acte totalement gratuit puisqu'on ne m'a rien volé. Et c'est sans compter le nombre de fois où l'on a retrouvé nos pneus crevés ».
On vit dans le noir, les volets fermés, avec des grilles aux fenêtres. Même nos jardins sont grillagés. On a peur pour nos voitures qui sont régulièrement vandalisées. J'ai une trouille bleue de me retrouver un jour face à quelqu'un qui est entré chez moi. On en a marre , nous nous sentons en insécurité ». Le constat est sans appel pour cette habitante du quartier de la gare installée depuis 23 ans dans le secteur de la rue de Paris. A tel point que les riverains ont décidé de faire une pétition, adressée au maire.
Vols à répétition et vandalisme
Depuis plusieurs mois, les habitants constatent une multiplication des actes de dégradation, de vandalisme et même des vols ou tentatives de vol. « Au moment des fêtes de Noël, explique cette personne,
Et cette autre habitante, fidèle depuis 14 ans au quartier, de confirmer : « J'ai vécu la même chose. Ma voiture était garée sous ma fenêtre et j'ai retrouvé le coffre complètement enfoncé, sans doute avec des coups de pied. C'était un acte totalement gratuit puisqu'on ne m'a rien volé. Et c'est sans compter le nombre de fois où l'on a retrouvé nos pneus crevés ».
Avignon : Une voiture incendiée contre la façade d’un bar
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/02/02/une-voiture-incendiee-contre-la-facade-d-un-bar
Hier, à 6h18, les sapeurs-pompiers d’Avignon ont un appel d’urgence. Une voiture vient d’être incendiée au 31 de l’avenue de la Croix des Oiseaux. À cette adresse, un petit immeuble avec un bar au rez-de-chaussée et un appartement à l’étage.
Hier, à 6h18, les sapeurs-pompiers d’Avignon ont un appel d’urgence. Une voiture vient d’être incendiée au 31 de l’avenue de la Croix des Oiseaux. À cette adresse, un petit immeuble avec un bar au rez-de-chaussée et un appartement à l’étage.
« Ce n’est pas la première fois que ça arrive»
Argenteuil : Un suspect écroué après l’incendie du Franprix
http://www.leparisien.fr/abo-val-d-oise/un-suspect-ecroue-apres-l-incendie-du-franprix-03-02-2011-1297430.php
Un homme d’une trentaine d’années a été écroué, mardi soir, dans le cadre de l’incendie criminel qui a dévasté le supermarché Franprix de la Dalle d’Argenteuil. Il est suspecté d’avoir pris une.
mercredi 2 février 2011
Nîmes : « 150 policiers en moins à Nîmes »
http://www.midilibre.com/articles/2011/02/02/NIMES-150-policiers-en-moins-a-Nimes-1525636.php5
Unité SGP Police, syndicat majoritaire de la police nationale, réagit aux propos tenus par le préfet du Gard, la semaine dernière, lors de la présentation du bilan 2010 de la délinquance (lire Midi Libre du 25 janvier).
Les effectifs : « Le préfet constate, comme nous le dénonçons depuis plus de trois ans, la diminution des effectifs de police dans le département, soit 150 policiers nationaux en moins. Il précise qu'il n'y aura aucun renfort supplémentaire, ce qui n'est pas très rassurant pour l'avenir (...). »
Les chiffres : « Faire un parallèle entre l'augmentation des cambriolages et la diminution constante de la présence policière sur le terrain est facile. La police n'a plus les moyens humains de faire de la sécurisation. L'urgence a pris le pas sur la patrouille de surveillance. »
Unité SGP Police, syndicat majoritaire de la police nationale, réagit aux propos tenus par le préfet du Gard, la semaine dernière, lors de la présentation du bilan 2010 de la délinquance (lire Midi Libre du 25 janvier).
Les effectifs : « Le préfet constate, comme nous le dénonçons depuis plus de trois ans, la diminution des effectifs de police dans le département, soit 150 policiers nationaux en moins. Il précise qu'il n'y aura aucun renfort supplémentaire, ce qui n'est pas très rassurant pour l'avenir (...). »
Les chiffres : « Faire un parallèle entre l'augmentation des cambriolages et la diminution constante de la présence policière sur le terrain est facile. La police n'a plus les moyens humains de faire de la sécurisation. L'urgence a pris le pas sur la patrouille de surveillance. »
Perpignan : Prison, le quartier des mineurs au bord de l'implosion
http://www.midilibre.com/articles/2011/02/01/PERPIGNAN-Prison-le-quartier-des-mineurs-au-bord-de-l-39-implosion-1524811.php5
Dans la nuit de samedi à dimanche dernier, une bagarre a éclaté entre deux détenus mineurs, dans l'aile qui leur est consacrée au centre pénitentiaire de Perpignan. Une altercation qui a nécessité l'intervention des surveillants, et qui a provoqué la colère du syndicat Ufap-Unsa, par la voix de son secrétaire local Johann Reig. Concrètement pour le syndicat, cette altercation n'aurait jamais eu lieu si les conditions de détention des mineurs étaient appliquées à la lettre : « Les mineurs qui, rappelons-le, doivent être incarcérés seuls, sont obligés pour certains de partager leur cellule. Depuis plusieurs mois, nous dénonçons une surpopulation constante. Sans aucun résultat jusqu'ici, dénonce Johann Reig dans un communiqué. Le travail qu'effectuent nos collègues n'est que du 'bricolage' car on ne peut pas gérer 15 enfants dans une aile qui n'est pas conçue pour cela ».
Dans la nuit de samedi à dimanche dernier, une bagarre a éclaté entre deux détenus mineurs, dans l'aile qui leur est consacrée au centre pénitentiaire de Perpignan. Une altercation qui a nécessité l'intervention des surveillants, et qui a provoqué la colère du syndicat Ufap-Unsa, par la voix de son secrétaire local Johann Reig. Concrètement pour le syndicat, cette altercation n'aurait jamais eu lieu si les conditions de détention des mineurs étaient appliquées à la lettre : « Les mineurs qui, rappelons-le, doivent être incarcérés seuls, sont obligés pour certains de partager leur cellule. Depuis plusieurs mois, nous dénonçons une surpopulation constante. Sans aucun résultat jusqu'ici, dénonce Johann Reig dans un communiqué. Le travail qu'effectuent nos collègues n'est que du 'bricolage' car on ne peut pas gérer 15 enfants dans une aile qui n'est pas conçue pour cela ».
Grenoble : La vitrine d’un magasin brisée à coups de masse
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/01/31/la-vitrine-d-un-magasin-brisee-a-coups-de-masse
Trois personnes, dont une femme, ont été vues par des témoins tenter de pénétrer dans une boutique de bijoux fantaisie, située 12, rue des Clercs dans le centre ancien de Grenoble, en cassant la vitrine à coups de massette, vers 5 heures dimanche matin. Par chance, le verre n’a fait que s’étoiler et les voleurs n’ont pas pu entrer dans le magasin.
Il est alors parti en courant mais, après une brève course-poursuite, il a pu être interpellé par les gardiens de la paix qu’il a copieusement outragés en se rebellant.
Trois personnes, dont une femme, ont été vues par des témoins tenter de pénétrer dans une boutique de bijoux fantaisie, située 12, rue des Clercs dans le centre ancien de Grenoble, en cassant la vitrine à coups de massette, vers 5 heures dimanche matin. Par chance, le verre n’a fait que s’étoiler et les voleurs n’ont pas pu entrer dans le magasin.
Il est alors parti en courant mais, après une brève course-poursuite, il a pu être interpellé par les gardiens de la paix qu’il a copieusement outragés en se rebellant.
Carpentras : Il menace la kiné et incendie son cabinet
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/02/01/il-menace-la-kine-et-incendie-son-cabinet
Le feu qui a pris dans un cabinet de kinésithérapie de Carpentras lundi soir (lire notre édition d’hier) était criminel. Il avait été allumé par un patient.
Peu après 19 heures, au cabinet, sur le cours de la Pyramide, cet homme s’était mis en colère quand la praticienne avait refusé de pratiquer sur lui un massage gratuitement, et sans prescription médicale. Il s’était montré violent, la frappant avec un tabouret. Elle s’était enfermée dans les toilettes. il avait menacé de mettre le feu. Sentant un peu plus tard de la fumée sous la porte, la jeune kinésithérapeute était sortie. l’homme n’était plus là. Elle n’a pas été blessée, mais son cabinet est en partie détruit et ce qui n’a pas brûlé est très fortement noirci.
Le feu qui a pris dans un cabinet de kinésithérapie de Carpentras lundi soir (lire notre édition d’hier) était criminel. Il avait été allumé par un patient.
Peu après 19 heures, au cabinet, sur le cours de la Pyramide, cet homme s’était mis en colère quand la praticienne avait refusé de pratiquer sur lui un massage gratuitement, et sans prescription médicale. Il s’était montré violent, la frappant avec un tabouret. Elle s’était enfermée dans les toilettes. il avait menacé de mettre le feu. Sentant un peu plus tard de la fumée sous la porte, la jeune kinésithérapeute était sortie. l’homme n’était plus là. Elle n’a pas été blessée, mais son cabinet est en partie détruit et ce qui n’a pas brûlé est très fortement noirci.
mardi 1 février 2011
Sarcelles : Deux interpellations après la bagarre entre bandes
http://www.leparisien.fr/abo-val-d-oise/deux-interpellations-apres-la-bagarre-entre-bandes-31-01-2011-1291212.php
Hier après-midi, des jeunes de Seine-Saint-Denis sont venus en découdre rue Camille-Saint-Saëns, le quartier de Sarcelles à la limite de Pierrefitte. Selon les premiers éléments de l’enquête, la.
Grigny : Des incidents à la Grande-Borne
http://www.leparisien.fr/abo-essonne/des-incidents-a-la-grande-borne-31-01-2011-1291027.php
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La soirée de samedi a été agitée à la Grande-Borne, à cheval sur Viry-Châtillon et Grigny. Vers 19h30, les policiers ont été prévenus qu’il y avait un attroupement inquiétant dans la cité. Arrivées
Corbeil-Essonnes : un jeune homme poignardé en pleine rue lundi soir
http://www.leparisien.fr/essonne-91/corbeil-un-jeune-homme-poignarde-en-pleine-rue-01-02-2011-1295051.php
Un jeune homme tunisien de 28 ans est mort lundi soir après avoir été poignardé. Il était 23h20, lorsque l’homme a été agressé en pleine rue à Corbeil-Essonnes (Essonne). Poignardé au niveau de l’omoplate, il est décédé après être rentré chez lui, malgré une tentative de réanimation des secours.
Un jeune homme tunisien de 28 ans est mort lundi soir après avoir été poignardé. Il était 23h20, lorsque l’homme a été agressé en pleine rue à Corbeil-Essonnes (Essonne). Poignardé au niveau de l’omoplate, il est décédé après être rentré chez lui, malgré une tentative de réanimation des secours.
Trois individus ont été interpellés
Avignon : Trois jeunes arrêtés, armés jusqu’aux dents route de Tarascon
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/01/31/trois-jeunes-arretes-armes-jusqu-aux-dents
il est un peu plus d’1heure samedi lorsque les policiers d’Avignon sont appelés, route de Tarascon, dans la cité des papes. Un homme se plaint d’avoir reçu la visite, quelques minutes auparavant, de trois individus qui voulaient rentrer chez lui, pour des raisons encore inconnues. Présentés hier au parquet d’Avignon
L’homme a fermement refusé, malgré les menaces répétées. Les trois “visiteurs” décident alors de continuer leur route, et repartent en voiture, pendant que l’Avignonnais décide d’appeler la police. Ils seront finalement contrôlés non loin de là, à bord de leur véhicule. Dans l’habitacle : un pistolet semi-automatique, un autre à grenaille, des cagoules et des gants. Le parfait attirail du cambrioleur.
il est un peu plus d’1heure samedi lorsque les policiers d’Avignon sont appelés, route de Tarascon, dans la cité des papes. Un homme se plaint d’avoir reçu la visite, quelques minutes auparavant, de trois individus qui voulaient rentrer chez lui, pour des raisons encore inconnues. Présentés hier au parquet d’Avignon
L’homme a fermement refusé, malgré les menaces répétées. Les trois “visiteurs” décident alors de continuer leur route, et repartent en voiture, pendant que l’Avignonnais décide d’appeler la police. Ils seront finalement contrôlés non loin de là, à bord de leur véhicule. Dans l’habitacle : un pistolet semi-automatique, un autre à grenaille, des cagoules et des gants. Le parfait attirail du cambrioleur.
Grenoble : Des voleurs sèment le trouble chez Lidl, quartier Mistral
http://www.ledauphine.com/isere-sud/2011/01/31/des-voleurs-sement-le-trouble-chez-lidl
Samedi en fin d’après-midi, une dizaine de jeunes sont entrés dans le magasin d’alimentation discount Lidl, situé à l’angle de la rue Anatole-France et de l’avenue Rhin-et-Danube, dans le quartier Mistral à Grenoble, et ont commencé à faire du grabuge, volant notamment des jus des fruits et des friandises dans les rayons, jusqu’à ce que les vigiles et le gérant ne parviennent à les mettre à la porte.
Sur le parking, les trublions s’en sont alors pris à deux voitures en stationnement dont ils ont brisé des vitres avec des pierres.
Samedi en fin d’après-midi, une dizaine de jeunes sont entrés dans le magasin d’alimentation discount Lidl, situé à l’angle de la rue Anatole-France et de l’avenue Rhin-et-Danube, dans le quartier Mistral à Grenoble, et ont commencé à faire du grabuge, volant notamment des jus des fruits et des friandises dans les rayons, jusqu’à ce que les vigiles et le gérant ne parviennent à les mettre à la porte.
Sur le parking, les trublions s’en sont alors pris à deux voitures en stationnement dont ils ont brisé des vitres avec des pierres.
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